Les légendes d'Underfoot : Le Repos de Brell

Au-delà des limites du monde connu, il existe un lieu de paix où les suivants de Brell viennent trouver le repos éternel, après une vie d'abgénation au service de leur dieu. Accéder au Repos de Brell est une récompense, mais tous ne semblent pas être tentés par cet honneur. Parmi les élus, beaucoup essayent de passer leur vie d'outre tombe dans une atmosphère idéale, selon leur culture et leurs souhaits. En effet, les nains, les gnomes, les gnolls, les kobolds choisissent de vivre soit à l'intérieur ou autour du Repos de Brell, soit dans la Cité de Lumière non loin. En conséquence, la plupart des habitants du Repos sont des gnolls et des kobolds qui vivent dans une certaine violence. Quant aux nains, ils restent plutôt dans la Cité de Lumière pour brasser tranquillement leur bière ou façonner la pierre et le métal; pendant que leurs compagnons gnomes bricolent en se demandant, du fait de leur inssatiable curiosité, ce qui peut bien se passer au Repos.
Le Repos de Brell est source de conflits sanglants qui éclatent entre les gnolls et les kobolds. Cette violence fait partie intégrente de leur vision guerrière et tribale de leur "chienne de vie". Voilà pourquoi, ils préfèrent vivre et mourir en dehors de la paix de la Cité de Lumière. Au sein de ce lieu, une arène existe pour laisser libre court à ce déchaînement de violence barbare. C'est dans cette enclave sanglante que les guerriers se défient pour prouver leur valeur par les armes.
Les gnolls et les kobolds se sont affrontés avec vigueur, sur le champs de bataille du Repos de Brell, durant un millénaire. Mais, les kobolds ont récemment décidés de se trouver d'autres adversaires et commencent à avoir des véléités sur la Cité de Lumière. En effet, les gnolls sont de plus en plus étranges, comme s'ils tentaient de dissimuler quelque chose. Quand un fou, ou un puissant, essaye de les questionner, ils sombrent dans un mutisme complet.Certains se risquent à chuchoter le nom d'une créature appelée le "Destructeur" ou "l'Eternel". Lorsque un de ces noms sortent de leur putride bouche,leur faciès se pare d'une grimace de haine, teintée de respect secrètement nourri par une crainte indicible. Quelque soit la nature de cette entité, il semble que les gnolls ne le contrôlent pas encore totalement et le craignent assurément.

Réactions


Personne n'a encore réagi. Soyez le premier.